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Les représentants politiques ont reconnu à la clôture du G8 agricole en Italie aujourd’hui qu’ils ne pourraient probablement pas tenir leurs promesses.

La Nouvelle Alliance pour la sécurité alimentaire et la nutrition lancée en 2012 lors du sommet du G8 s'engage à aider quelque 50 millions de personnes à sortir de la pauvreté au cours de l

La production de denrées alimentaires mondiale suffit à répondre aux besoins de tous. Pourtant, la crise alimentaire continue de faire rage. La moitié de la nourriture mondiale est perdue ou gaspillée, et un milliard de personnes – soit près d'un individu sur sept – souffre de la faim.

Dix ans après l'approbation des objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) par les dirigeants du monde entier, l'engagement le plus fort jamais pris pour créer un « avenir plus pai

L’augmentation des prix alimentaires, le changement climatique et des modifications considérables dans les régimes de propriété foncière aggravent la réalité de la faim et laissent aux personnes en situation d’insécurité alimentaire le sentiment d’être « des citoyens au rabais ».

L'élection du directeur général de l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) devrait marquer le début d'une nouvelle ère pour l'organisation, qui peut jouer un rôle de leader dans la lutte contre les prix alimentaires élevés et volatiles.

Pour Oxfam, l’approche du G20 qui s’apparente plutôt à un cataplasme sur une jambe de bois est très loin de la chirurgie massive vraiment nécessaire pour s’attaquer à la crise alimentaire.

Les femmes jouent un rôle essentiel dans l'agriculture familiale et paysanne. Mais elles font face à des obstacles qui les empêchent de nourrir leur famille et de réinvestir dans leurs moyens de subsistance. Les soutenir libérerait le potentiel de centaines de millions d'entre elles dans la lutte contre la faim, la pauvreté et le changement climatique.

En réaction au

À la veille du G8, l’organisation internationale Oxfam appelle les chefs d’État et de gouvernement en route pour Camp David à prendre des engagements politiques et financiers prévisibles et mesurables, pouvant permettre à 50 millions de personnes de sortir de la pauvreté au moyen d’une agriculture vivrière durable à l’horizon 2015.