Pour la première fois, une étude met en lumière l’impact de conditions météo rigoureuses et du changement climatique sur les prix alimentaires à l’avenir.
Un an après l’indépendance du Soudan du Sud, le 9 juillet, le jeune pays fait face à sa pire crise humanitaire depuis la fin de la guerre en 2005, sous la pression d’une situation économique très détériorée et du conflit actuel.
Le G20 doit abandonner ses politiques les plus dommageables en matière d'agrocarburants et exiger plus de transparence sur les stocks alimentaires pour s'attaquer à la volatilité des prix alimentaires mondiaux.
Plusieurs banques européennes ont annoncé mettre fin à leurs activités de spéculation sur les matières premières agricoles sous la pression des membres de la confédération Oxfam.
Alors que s’ouvrent les assemblées annuelles de la Banque mondiale et du FMI à Tokyo, Oxfam insiste sur la nécessité que ces institutions renforcent l’aide aux pays en développement touchés non seulement par la flambée des prix alimentaires, mais aussi par les retombées de la crise financière de l’Europe.
L'organisation internationale Oxfam vient de publier une édition numérique de son rapport « Cultiver un avenir meilleur : la justice alimentaire dans un monde aux ressources limitées » dans le cadre de la campagne CULTIVONS.
La nouvelle aide de 24 millions d’euros destinée au Niger, et à d’autre pays de la région ouest africaine du Sahel, débloquée par la Commission européenne a été accueillie favorablement par Oxfam.
Dans un nouveau rapport intitulé "Quelles leçons tirer ?", l’organisation internationale Oxfam affirme que la communauté de l’aide doit profondément changer sa façon de gérer les crises alimentaires dans la région et d’aider les communautés à mieux se préparer aux situations d’urgence récurrentes.