Pour Oxfam, la décision du Parlement européen de plafonner à 6 % la part des agrocarburants produits à partir de cultures alimentaires dans la demande d’énergie pour les transports, à l’hor
La faim compte parmi ces problèmes qui semblent si vastes et si ancrés qu’il est facile de croire qu’ils ne seront jamais résolus. Mais tout problème peut être résolu, soutient l'archevêque émérite Desmond Tutu, ambassadeur d'Oxfam.
Le G20 doit abandonner ses politiques les plus dommageables en matière d'agrocarburants et exiger plus de transparence sur les stocks alimentaires pour s'attaquer à la volatilité des prix alimentaires mondiaux.
Plusieurs banques européennes ont annoncé mettre fin à leurs activités de spéculation sur les matières premières agricoles sous la pression des membres de la confédération Oxfam.
Alors que s’ouvrent les assemblées annuelles de la Banque mondiale et du FMI à Tokyo, Oxfam insiste sur la nécessité que ces institutions renforcent l’aide aux pays en développement touchés non seulement par la flambée des prix alimentaires, mais aussi par les retombées de la crise financière de l’Europe.
Les investisseurs fonciers ciblent avant tout les pays les moins performants en matière de gouvernance, dénonce Oxfam à l'occasion d'une journée mondiale d'action contre les accaparements de terres.
Dans un rapport publié aujourd’hui et intitulé « Agrocarburants : comment l’Europe réchauffe la planète », Oxfam dénonce la mainmise du puissant lobby de l’industrie des agrocarburants sur la politique bioénergétique européenne et sa résistance à toute réforme.
La mobilisation de centaines de milliers de personnes au cours des douze derniers mois a poussé les dix plus grandes entreprises mondiales du secteur agroalimentaire à améliorer leurs politiques sociales et environnementales.