La base de données des « Panama Papers » est certes extrêmement importante, mais le contrôle de notre système fiscal devrait être le fait des gouvernements, et non des lanceurs d’alerte.
9 mai 2016
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La publication de la base de données des « Panama Papers » porte un rude coup aux fraudeurs fiscaux. Tout en s’en réjouissant, Oxfam estime que le public ne devrait pas devoir compter sur des lanceurs d’alerte pour dénoncer les fraudes fiscales. L’ONG appelle les responsables politiques réunis à Londres ce 12 mai, à l’occasion du Sommet anti-corruption, à mettre un terme à l’opacité qui permet aux multinationales et aux grandes fortunes d’éviter de payer leur juste part d’impôt.