Chaque année, Oxfam entreprend une enquête d’envergure auprès de populations touchées par le conflit à l’est de la République démocratique du Congo dont les voix sont trop peu entendues.
Le Sud-Soudan traverse l’année la plus violente depuis la fin de la guerre civile en 2005, alerte Oxfam, qui demande au Conseil de sécurité des Nations unies de s’assurer que les populations civiles sont davantage protégées.
En 2010, des millions d'hommes, de femmes et d’enfants ont été tués, violés, déplacés, blessés, ou recrutés de force suite aux conflits armés qui ont traversé le monde.
En 2010, la réponse de la communauté internationale en matière de protection des civils a été inégale et souvent partiale, estime l'ONG internationale Oxfam dans un rapport publié le lundi 9 mai.
Alors que la région connaît une nouvelle montée des violences ces dernières semaines, Oxfam appelle les Palestiniens et les Israéliens au calme immédiat. Ils doivent mettre tout en œuvre afin de protéger les civils innocents.
Le Sud-Soudan fera face à d’énormes défis et nécessitera, quel que soit le résultat du référendum qui se tiendra du 9 au 15 janvier 2011, un soutien à long terme de la part du reste du monde. Le Sud-Soudan pourrait devenir le plus jeune pays au monde mais aussi l’un des moins développés.
La communauté internationale doit agir pour empêcher le plus brutal mais aussi le plus ancien groupe rebelle d’Afrique, la LRA, de commettre un nouveau massacre à Noël cette année, alertent dix-neuf organisations humanitaires dans un nouveau rapport.
Presque tous les jours, un groupe de rebelles connu sous le nom de l'Armée de Résistance du Seigneur (Lord's Resistance Army, ou LRA, en anglais) tue, enlève et attaque les civils à travers
Les forces des Nations unies chargées du maintien de la paix sont un des principaux instruments de protection des civils. Pourtant, elles ne s'engagent pourtant que rarement auprès des communautés locales qu'elles sont censées protéger, constate l'organisation internationale Oxfam.
Pour la population afghane, les autres facteurs responsables du conflit sont dans l’ordre la faiblesse et la corruption du gouvernement, les Talibans et enfin l’ingérence des pays limitrophes.