South Sudan

Selon un nouveau rapport d’Oxfam publié à l’occasion de la Journée mondiale de l’alimentation, on estime que 7 000 à 21 000 personnes meurent de faim chaque jour dans des pays touchés par des conflits.

Les pays du G7, qui financent environ les trois quarts de l’Aide Publique au Développement (APD), s’apprêtent à amputer de 28 % le budget investi dans l’aide en 2026 par rapport aux niveaux de 2024, révèle une nouvelle étude menée par Oxfam en amont du sommet du G7 à Kananaskis, au Canada.

Plus d'un an après le début de la guerre, les femmes et les enfants subissent de plein fouet les conséquences de la crise. Pour Nadia, l'avenir reste incertain.

Fuir la guerre au Soudan avec sa famille fut difficile. Mais à bien des égards, les difficultés étaient tout aussi importantes pour Shaima Ali après son arrivée au Soudan du Sud.

L'histoire d'Ayul Ajak, mère de six enfants souffrant d'une déficience visuelle, illustre les problèmes que le conflit en cours au Soudan pose aux communautés vulnérables.

Seulement 28 % des entreprises mondiales les plus influentes du secteur agroalimentaire déclarent qu’elles sont en train de réduire leurs prélèvements d'eau, et seulement 23 % affirment prendre des mesures pour réduire la pollution de l'eau. La nouvelle analyse d'Oxfam, publiée à l’occasion de la Journée mondiale de l'eau (le 22 mars), porte sur 350 entreprises et exploite des données de la World Benchmarking Alliance. 

Des milliers de communautés du Sud-Soudan ouvrent leurs portes et offrent leurs maigres ressources aux réfugiés qui fuient le conflit du Soudan voisin. Oxfam appelle les pays donateurs à intervenir pour éviter une catastrophe.

Oxfam soutient une réponse humanitaire pour les réfugiés arrivant du Soudan dans les comtés de Renk et Raban, dans l'État du Haut-Nil, et prévoit intervenir dans la province de Sila, au Tchad.

Dans un nouveau rapport publié aujourd’hui, Oxfam révèle que les financements nécessaires dans le cadre des appels humanitaires de l’ONU liés à des événements climatiques extrêmes (inondations, sécheresses) sont aujourd’hui huit fois plus importants qu’il y a 20 ans. Et pourtant les contributions des pays donateurs ne suivent pas. Seulement la moitié de ces appels humanitaires de l’ONU pour les urgences climatiques a été financée au cours des cinq dernières années.

Un nouveau rapport d'Oxfam publié aujourd’hui indique que, si aucune mesure n’est prise, 11 personnes pourraient mourir de faim et de malnutrition chaque minute. C'est plus que le taux de mortalité mondial actuel du COVID-19, qui est d'environ sept personnes par minute.